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Aaaaaah, LinkedIn. On aimerait toutes et tous dompter ce réseau B2B. Et décrypter son algorithme secret, pour faire rayonner nos posts et ceux de nos pages entreprises. Mais régulièrement, des nouveautés fleurissent. Les règles changent. Et les professionnels du B2B se posent de nombreuses questions :

En 2023, quelles sont les règles de l’algorithme ? Comment avoir de la visibilité sur le réseau ? Quand poster sur LinkedIn et quels sujets aborder ? Quelles actions mettre en place pour générer du business ?

Lors de notre dernier Plezi Decode, Benoit Collet a fait appel à Emilie Houdou, experte en stratégie de contenus. Vous n’avez pas pu assister au live ? Pas de panique : on vous dit tout sur l’algorithme LinkedIn dans cet article.

  1. Comment fonctionne l’algorithme Linkedin
  2. LinkedIn : le vrai du faux des évolutions de l’algorithme
  3. Quelle stratégie développer en tant que TPE/PME B2B
  4. FAQ : les réponses à toutes vos questions LinkedIn

I / Comment fonctionne l’algorithme Linkedin ?

Imaginez : vous venez de rédiger un post LinkedIn. Et vous êtes prêts à le diffuser auprès de votre réseau, depuis votre profil personnel. L’objectif de cette publication est de partager votre dernière découverte à tous vos contacts marketeurs : un outil qui vous fait gagner une semaine de travail par mois. Il s’appelle Plezi.

À partir du moment où vous appuyez sur “Publier”, la machine de LinkedIn se met en route. L’algorithme s’appuie sur ces trois étapes clés :

  1. Analyse du post publié : est-ce bien un post (limité à 3000 caractères) ou un article (format article de blog) ? Est-ce que la publication comprend des liens externes ? Le contenu est-il aéré et bien rédigé ? LinkedIn analyse l’anatomie d’une publication et son contenu. S’il plaît à l’algorithme, place à l’étape suivante.
  2. Exposition du post à un premier cercle : après la publication, LinkedIn expose votre post à un échantillon restreint d’utilisateurs. 5 % de vos relations de premier cercle (on parle de “1ers Relations”) auront accès en avant-première au contenu. Si cette audience est réactive (likes, commentaires, partages), alors place à l’étape suivante.
  3. Exposition du post à une audience plus large : si vos contacts du premier cercle ont réagi rapidement à votre publication, c’est un bon signe pour l’algorithme. Il exposera le contenu aux 2e et 3e cercles. Bingo. Vous pourrez alors toucher un public extérieur.

C’est une des particularités de LinkedIn, star des réseaux sociaux B2B : il suffit qu’une de vos relations de niveau 1 commente votre post, pour que ses contacts puissent accéder à votre post, sur leur fil d’actualité. Même sans vous connaître. Parfait pour améliorer votre visibilité, développer votre réseau ou attirer des prospects !

Pour commencer à dompter l’algorithme LinkedIn, voici donc quelques actions à mettre en place :

  • Développer son réseau intelligemment : vos relations de premier cercle sont les alliés de votre visibilité.
  • Inviter votre audience à interagir en commentaire : c’est l’action la plus valorisée par l’algorithme, avant même les likes ou les partages de publications. Invitez votre réseau à commenter vos posts, pour les rendre plus visibles.
  • Apprendre à rédiger des posts qui touchent les cœurs de l’audience, mais aussi le cerveau de LinkedIn : une accroche, un développement, une conclusion. Dans un post aéré, qui aborde un sujet clair et utile pour l’audience. On vous en dit plus juste après.

Post RS linkedin

Exemple d’un post LinkedIn publié sur la page entreprise Plezi

II / LinkedIn : le vrai du faux des évolutions de l’algorithme

Tous les 3 mois (environ), des nouveautés apparaissent sur LinkedIn. De nouveaux formats performent, tandis que certaines actions deviennent obsolètes. L’algorithme du réseau social utilisé par 27 millions de Français ne cesse d’évoluer.

Chaque évolution entraîne son lot de rumeurs. Heureusement, Émilie Houdou est là pour nous aider à décrypter le vrai du faux. Voici 7 idées reçues : infos, ou in-faux ?

Le succès d’un post dépend du nombre d’abonnés

C’est faux ! Vous pouvez avoir 500 ou 1000 contacts LinkedIn, et publier un post qui fait des millions de vues. Le nombre de relations ou d’abonnés n’influence pas la portée et l’engagement de vos contenus.

N’oubliez pas qu’un contenu peut être diffusé auprès d’une large audience, qui dépasse votre cercle de contacts ou d’abonnés. Dans la même logique, vous pouvez aussi publier un post qui fait peu de vues, et obtenir de nombreuses opportunités (leads par message privé, demandes de partenariats, etc.).

Ne cherchez pas à séduire la masse, mais à toucher votre cible. On vous explique comment générer des leads dans ce guide complet de la stratégie LinkedIn en B2B.

Il faut privilégier les posts storytelling, plutôt que les contenus d’expertise

C’est faux ! Même si la tendance est aux posts storytelling sur notre fil d’actualité LinkedIn, la plateforme continue de valoriser les partages d’expertise. C’est même une des priorités de l’algorithme, en 2023 : valoriser les posts des professionnels qui font autorité dans leur domaine.

Évidemment, l’algorithme analyse l’adéquation entre le profil de l’expert et son message, pour s’assurer de la qualité et de la pertinence du discours proposé. Ne s’improvise pas expert qui veut !

Si vous avez une expertise, des connaissances ou des expériences liées à votre activité à communiquer, c’est le moment : parlez-en sur LinkedIn.

Exemple d’un post expert sur le marketing, publié par Axel Kaletka

Un post avec une image a un impact sur l’algorithme

Vrai, et faux ! La présence de photos interpelle les lecteurs, qui s’arrêtent plus facilement sur des publications imagées. Et plus longtemps. On parle de dwell time : le temps passé sur une publication (plus long lorsqu’un contenu visuel est présent) est un bon signal envoyé à l’algorithme. Il se dit alors “super, les internautes s’arrêtent longtemps sur ce contenu. C’est qu’il est intéressant !”

Puisque l’intérêt de LinkedIn est de maintenir l’attention des utilisateurs sur sa plateforme, l’algorithme valorise les posts qui font “rester” sur le réseau. Comme les posts avec photos, carrousels, vidéos. Mais attention ! Ne publiez pas un contenu avec une image “juste parce que c’est bien vu par l’algorithme”. Une photo qui n’a aucun rapport avec le contenu écrit, ou qui sera jugée choquante ou contraire aux règles de LinkedIn sera sanctionnée.

Testez et variez les formats… Mais si vous n’avez pas de photo pour accompagner un post, publiez quand même : une image ne vaut pas toujours mieux que 1000 mots.

Il faut un maximum d’interactions dès les premières minutes de publication

C’est vrai ! L’algorithme de LinkedIn analyse tout ce qu’il se passe dans les 90 premières minutes qui suivent la publication. Si vous obtenez des interactions, LinkedIn poussera votre contenu à un échantillon plus large d’utilisateurs. Et ainsi de suite.

Les interactions boostent la portée des publications. Ça, ça n’a pas changé cette année. La seule évolution ? Avant, il était conseillé d’éviter de modifier un post dans les 90 premières minutes, pour ne pas pénaliser sa visibilité et son engagement. C’est maintenant de l’histoire ancienne : LinkedIn a confirmé qu’aucune pénalité n’est accordée en cas de modification d’un post après publication.

Un oubli ? Une coquille ? Sentez-vous libres de cliquer sur “modifier”.

Il faut attendre plusieurs heures entre deux publications sur un même profil

C’est vrai ! Pour les pages personnelles, comme pour les pages entreprises. Si vous publiez deux posts de façon rapprochée, un phénomène de cannibalisation se met en place. Votre deuxième actualité sera susceptible d’avoir moins de portée et d’engagement.

Émilie Houdou recommande de laisser 18 heures entre deux publications sur un profil personnel. Pour une page entreprise, c’est la règle du “1 post par jour” qui prime. Selon les ressources humaines en interne, il est aussi possible de se limiter à 2 publications par semaine sur des formats engageants, comme des carrousels. Ou des vidéos. Ou un de ces 13 types de contenus à aller piocher dans cet article, et à adapter en post LinkedIn.

Avec cette stratégie, Émilie a augmenté de +30 % le nombre d’abonnés de certaines pages entreprises !

Le recyclage de contenu, c’est OK sur LinkedIn

C’est vrai. Archi-vrai : le recyclage de contenus est une stratégie en or, pour trouver des idées fraîches en utilisant celles du passé. Et pour décliner d’anciens posts en nouveaux contenus. Quelques astuces pour recycler vos posts LinkedIn :

  • Vous avez fait un live LinkedIn ? Transformez les moments clés en carrousel.
  • Vous avez publié un post “5 conseils” autour de votre expertise ? Choisissez un des 5 conseils, et détaillez-le dans un post unique.
  • Sous une de vos dernières actualités, vous avez reçu un commentaire intéressant, qui suggère une idée utile pour votre audience ? Utilisez le contenu de ce commentaire pour en faire un post dédié (en remerciant la personne pour l’idée).

Le recyclage de contenus fonctionne aussi en cross-canal : un post LinkedIn peut donner vie à une newsletter. Un article de blog peut se transformer en post LinkedIn. À vous de jouer !

Mais attention : “recycler”, ce n’est pas la même chose que “republier”. La re-publication d’un ancien post (ou d’un post de votre réseau) est peu valorisée par l’algorithme, qui préfère vos publications natives. Recyclez les idées, réécrivez des posts, mais essayez de ne pas cliquer sur “republier”.

Exemple d’un challenge par e-mail et d’un article de blog transformé en post LinkedIn

Les émojis et les # sont indispensables dans un post

C’est faux ! En 2023, ils ne sont plus essentiels. Les émojis peuvent être utilisés avec parcimonie, par exemple dans l’accroche d’un post, pour attirer l’attention. Ils peuvent aussi servir de signature pour votre marque personnelle ou le branding de votre société. Chez Plezi, c’est l’émoji 🌪️ qui nous correspond. Vous le retrouverez à côté du nom de certains membres de l’équipe (savez-vous pourquoi, d’ailleurs ? À vos commentaires sous cet article !)

Les émojis ne doivent pas être utilisés en sur-quantité, pour éviter de noyer vos messages à faire passer. Ils peuvent aussi décrédibiliser certains discours, certaines postures. Tout comme le trop-plein de hashtags.

L’algorithme de LinkedIn (et les utilisateurs) n’accordent plus autant d’importance aux hashtags. D’un côté, LinkedIn fait l’indexation des mots-clés présents dans un post sans hashtags. De l’autre, les internautes ont pris l’habitude de consommer le contenu recommandé sur leur fil d’actualité, sans avoir besoin de le chercher à partir de hashtags depuis la barre de recherche. Cette pratique n’est d’ailleurs plus possible aujourd’hui.

Si certains # très suivis vous tiennent à cœur, mentionnez-les plutôt en fin de publication, pour ne pas nuire à la lecture. Avant l’essor de l’IA et du marketing B2B sur LinkedIn, les hashtags risquent de disparaître pour de bon. Affaire à suivre !

III/ Quelle stratégie développer en tant que TPE/PME B2B

Vous faites partie d’une TPE ou PME, dans l’univers du B2B ? Et vous souhaitez vous lancer sur LinkedIn, ou adapter votre stratégie de contenus sur le réseau ? Bingo. Vous êtes au bon endroit.

Au regard des évolutions de l’algorithme, et de nos prédictions futures… Voici nos conseils pour partir à la conquête de LinkedIn. Et multiplier les retombées dans la durée.

Étape n°1 : La page entreprise

La place de la page entreprise dans une stratégie LinkedIn ne cesse d’évoluer. Avant, elle était centrale : être sur le réseau sans communiquer à travers son compte entreprise ? C’était impensable.

Aujourd’hui, la page entreprise prend la place d’une vitrine. Ce n’est plus elle qui fait tourner la boutique, mais elle continue d’attirer une (petite) partie des utilisateurs. Son reach diminue, et il continuera de diminuer. Tout miser sur les contenus d’une page entreprise n’est plus une bonne idée.

L’algorithme du réseau social privilégie les posts des comptes entreprises qui sont sponsorisés. Si vous ne faites pas de LinkedIn Ads, difficile de sortir du lot. On considère d’ailleurs qu’en publiant moins de 2 posts natifs par semaine, la croissance de la page est réduite de 50 %. Faut-il pour autant tout arrêter, et supprimer la page de sa marque ?

La réponse est non. Gardez cette page vitrine, et publiez 2 contenus par semaine dessus. Utilisez cette page entreprise pour commenter des publications sur le réseau. Tout en déployant les autres actions, ci-dessous.

Étape n°2 : l’employee advocacy

Qui sont les experts en interne ? Sont-ils volontaires pour communiquer sur le réseau ?

Voilà deux questions à se poser. Dès maintenant. Votre mission est d’identifier les experts de votre entreprise qui ont compris l’importance d’une stratégie de contenus LinkedIn, et qui souhaitent y contribuer. On parle d’employee advocacy ou de personal branding : les employés deviennent les ambassadeurs de l’entreprise, et communiquent en leur nom propre.

L’employee advocacy permet de développer une communication depuis les comptes personnels des collaborateurs. Et donc une stratégie de contenus plus personnalisée, avec beaucoup plus d’impact. LinkedIn ne se limite pas au B2B : c’est avant tout une plateforme de HtoH (Human to Human). Les utilisateurs préfèrent s’identifier aux discours d’un collaborateur, plutôt que d’une marque sans visage.


Exemple d’un post d’Adeline, Directrice Marketing chez Plezi

Pour encourager l’employee advocacy, voici ce que nous avons mis en place chez Plezi :

  • Sensibiliser les collaborateurs à l’importance de LinkedIn : éduquer les équipes, plutôt que de les forcer à communiquer. C’est une priorité absolue.
  • Repérer les experts qui sont ouverts à l’utilisation de leur profil LinkedIn, pour communiquer.
  • Préparer des posts (ou des trames de publications) au sein de l’équipe marketing, et les partager sur un Notion. Le travail est mâché pour les équipes, qui peuvent communiquer sans effort.

Étape n°3 : Les “à côtés”

Il ne suffit pas de communiquer depuis une page entreprise ou un profil personnel, lorsque l’on est une TPE ou PME B2B. Sur LinkedIn, l’algorithme veille au grain… Et prend en compte d’autres actions de votre part. Alors, avez-vous pensé à :

  • Optimiser les profils LinkedIn : indiquer son poste actuel permet de multiplier par 5 les demandes de connexion. Tandis qu’une photo professionnelle génère 14 fois plus de vues que d’autres types de photos. Assurez-vous de rendre votre compte attrayant, et de le tenir à jour. Et si vous avez besoin d’un coup de pouce, pas de panique : l’IA arrive sur LinkedIn et l’amélioration des profils. Pour vous aider à configurer vos profils… Ou même rédiger vos posts.
  • Commenter, commenter, commenter : les commentaires, les likes et les partages sont des signaux forts pour l’algorithme de LinkedIn. Mais surtout les commentaires. En commentant les publications de votre réseau, vous vous rendez plus visible (hausse des visites de profils, des demandes de connexion, de la portée de vos futurs posts). Pensez également à répondre rapidement aux commentaires sous vos propres contenus, pour augmenter votre reach.
  • Activer le mode créateur : le mode créateur permettrait aux comptes qui publient plus de 2 fois par semaine d’obtenir un boost de portée compris entre 15 et 35%. Grâce au mode créateur, vous avez également accès à des fonctionnalités supplémentaires, comme la possibilité d’organiser des lives sur LinkedIn. Pratique, pour développer votre stratégie de contenus B2B !

IV / FAQ : les réponses à toutes vos questions LinkedIn

Vous êtes fin prêts à conquérir LinkedIn. Ou presque. Vous vous posez sûrement encore quelques questions… Voici nos réponses. Après cette dernière FAQ, vous aurez toutes les cartes en main pour rédiger, publier et performer sur LinkedIn.

Quand publier sur LinkedIn ?

Le meilleur moment pour publier, c’est celui où votre audience est disponible ET où vous êtes disponible, avant et après (pour commenter les contenus de votre réseau puis répondre aux commentaires reçus sous votre post). Ne publiez pas le lundi à 9h, si vous êtes systématiquement en réunion de 9h à 12h.

Le plus important reste la régularité. Fixez un rythme et tenez-le. Arrêter de publier pendant 3 à 4 semaines entraîne une baisse de reach de 30 % ! Alors, autant anticiper, s’organiser, créer du contenu à l’avance. Par exemple, en s’appuyant sur un modèle de calendrier pour les réseaux sociaux B2B :

Quelles sont les principales actions sanctionnées par l’algorithme ?

Voici les points clés auxquels faire attention  :

  • Renvoyer vers un lien externe, comme par exemple une vidéo.
  • Faire trop de fautes ou utiliser des « spams words » comme « gratuit ».
  • Demander dans le post de rédiger des commentaires.
  • Le spam dans les contenus (trop de # ou de mentions de personnes).
  • Rédiger trop de publications dans la même journée (sans laisser 18h d’intervalle)
  • Les contenus injurieux
  • La visite de +30 profils dans la même journée ou une absence trop longue sur le réseau peuvent être pénalisés.

Résultats ? La portée et l’engagement peuvent diminuer. Votre profil peut aussi être temporairement suspendu.

Comment écrire un “bon” post LinkedIn ?

Il est impossible d’anticiper les performances d’une publication. En revanche, il est possible de travailler son copywriting, pour optimiser la qualité de ses contenus.

Tout d’abord, la taille d’une publication LinkedIn est limitée à 3 000 caractères. La taille idéale d’un post est entre 1 000 et 1200 caractères pour être ni trop long ni trop court. Un post LinkedIn clair et impactant se structure en 3 parties :

  • Une accroche qui donne envie de cliquer sur “voir plus”, pour dérouler le post. L’accroche doit attirer l’attention, par exemple en énonçant des chiffres précis.
  • Un déroulé qui valorise les arguments de façon aérée, en suivant une trame (AIDA, méthode PAS, etc.). Ou en vous faisant confiance.
  • Une conclusion qui invite à l’interaction (grâce à un CTA) ou à la réflexion (grâce à une morale, une phrase forte).

Faut-il nettoyer son réseau Linkedin ?

Oui, si ce n’est pas votre audience cible, ni des prescripteurs.

Comment fonctionne les formulaires Linkedin ? Et, sont-ils efficaces ?

Les formulaires de génération de leads est une fonctionnalité proposée par Linkedin qui permet de collecter les leads directement depuis la plateforme.

Les informations sont pré-remplis par Linkedin et les prospects intéressés par votre contenus ne sont pas redirigés vers une page externe, ce qui permet d’augmenter les taux de conversion de vos campagnes.

En revanche, ce que nous avons observé c’est que vous pouvez avoir plus d’emails personnels que professionnels car Linkedin rattache les informations qui ont été données par l’utilisateur lors de la création de compte.  L’autre point important à noter est qu’en utilisant cette fonctionnalité, vous allez devoir créer des automatisations pour faire remonter vos leads dans votre outil de marketing et vous n’aurez pas accès au tracking et aux informations de visite de votre prospect sur votre site et vous vous privez de nombreuses informations.

Nous vous conseillons de les utiliser avec parcimonie.  Pour en savoir plus sur comment mettre en place des campagnes sponsorisées efficaces sur LinkedIn, suivez le guide ! 

Quels outils utiliser, pour son profil LinkedIn ?

En activant le mode créateur (gratuit), vous aurez accès à un tableau de bord d’analyses : nombre d’impressions (vues), évolution des visites de profils et des abonnés, nombre d’apparitions dans les recherches…

Pour avoir des statistiques et reporting détaillés, vous avez l’outil Shield Analytics que recommande Emilie.

En parallèle, nous ne pouvons que vous suggérer égalementnotre outil de marketing automation Plezi  pour automatiser la publication de vos posts LinkedIn et diffuser vos nouveaux articles, contenus et webinars sur vos médias sociaux en créant et planifiant des publications LinkedIn, Facebook ou Twitter à l’avance.

promotion sur les réseaux sociaux avec plezi

Fonctionnalité de publication sur les réseaux sociaux dans l’application Plezi

Plezi est le seul logiciel dont vous avez besoin pour gérer l’ensemble de votre marketing B2B. De l’aide à la création de posts LinkedIn, à l’automatisation de vos actions marketing. Plus de 3000 marketeurs débordés nous font confiance. Et vous ?

Adeline Lemercier

Adeline Lemercier

Adeline est Responsable Marketing chez Plezi. Riche de son expérience de 4 ans chez Sage au sein du service marketing acquisition, son rôle est de développer la stratégie d'inbound marketing chez Plezi.

1 commentaire

  • Pierre

    Superbe article merci !